La campagne pour la future élection du prochain président de la fédération gabonaise de basket-ball prend une tournure de tentative d’intimidation et d’influence au moment où le Ministère des Sports sous l’ère Franck Nguema est attendu. Ce désordre électoral ne concerne pas que le basket-ball, elles sont nombreuses les fédérations et ligues sportives a avoir adopté ce mode désorganisé alors que le ministre annonçait une mise à plat du système.

Entre intimidation, violence des mots et trafic d’influence sous couvert d’appartenance à un certain parti politique, les pinceaux sont désormais mélangés et les couleurs semblent être affreuses à cette période où les textes de 2018 largement contestés depuis leur examen par un groupuscule d’ami même si des orientations prennent forme et des blocs douteux pour dire qu’ils sont nombreux à être en accord.

Une communication animée pour manipuler l’opinion afin que le peuple acquiesce. Une élection de basket-ball animée par entre autre argument l’appartenance à un parti politique, ressemble au pire trafic d’influence. Pourquoi ? On sait que Le patron du parti n’est en rien intéressé pas cette élection et ils ont mieux affaire. Le rendez-vous du 19 Décembre est loin d’être inscrit dans l’agenda des locataires de LOUIS. La discipline plonge dans des soubresauts et contestations populaires à partir de février 2018.

APPELS TÉLÉPHONIQUES PAR PERSONNALITÉS INTERPOSÉES  

Des coups de fils sont tendus dans le dernier virage et les distants d’hier souhaitent ravaler leur fierté en considérant les ligues et clubs comme des partenaires privilégiés.

Le Ministère est attendu, après avoir reçu tour à tour le président sortant et les candidats sur cette affaire qui met le feu aux poudres en 2020.